Art/Proj/Ect/Vismara

Réalisations artistiques en cours et à venir.

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samedi, juin 12 2010

salles diplôme, réelle et virtuelle.

 

Cette salle est la représentation 3D dans "second life", de la salle d'exposition de l'ensapc comprenant mes principaux travaux : "Visiteurs" (fausse intallation interactive, projection, webcam, personne activant le programme informatique), "flyer" (présentoir), "the bug mark II" (jeu vidéo), ainsi que cette salle virtuelle (connexion internet, ordinateur) .

jeudi, juin 18 2009

DOG.GOD.

roumain.jpg

mardi, mai 12 2009

Formes (GPS), série.

 

Cette série de formes a été réalisée grâce aux coordonnées géographiques de diverses personnes. Elles représentent à l'échelle mondiale (ici de type "planisphère") leurs déplacements géographiques effectués au cours de leurs vies. Elles sont classées par ordre décroissant, la première image étant une représentation d'un tour du monde absolu, sorte d'idéal fictif.

dimanche, mars 8 2009

The BUG/ Mark II

Couverture_thebug2.jpg

The BUG/ Mark II, jeu vidéo en ligne, pour jouer à la version en ligne (la fin du jeu est abrégée) allez à l'adresse suivante :

http://envrak.free.fr/Fabien/TheBugMark2(webversion).swf
  bug_accueil_bis.jpg  Accueil
  nivo_1bis.jpg  Niveau 1
  nivo2bis.jpg  Niveau 2

Le héros de ce jeu est une mite, l'insecte parcourt un espace rempli de fils électriques, le but du jeu est de parvenir à la sortie en les évitant sous peine de finir grillé et de provoquer le "Game Over". Ce jeu propose de rejouer une page de notre histoire, il tient son nom de l'ordinateur Harvard Mark II, c'est au coeur de celui-ci que la mite évolue, cet ordinateur est célèbre du fait d'avoir connu le tout premier BUG de l'histoire de l'informatique en 1945. C'est la contre-amirale Murray hopper, qui découvrît ce premier bug, qui était un véritable insecte -une mite- s'étant introduite dans les circuits de l'ordinateur. Depuis ce terme est passé dans le langage courant, bien qu'il désigne désormais de manière métaphorique les erreurs et conflits de programmes en informatique. Ce jeu offre donc la possibilité à la mite d'être épargnée ; dans le cas contraire, la mort de celle-ci entraînera des conséquences...

lundi, mars 2 2009

Flyer

flyer retouche2.jpg

Le projet "Flyer", est une idée de recyclage de flyers. Il consiste à réimprimer les flyers usagés, périmés (par nature éphémères) afin de leurs donner un second souffle ; avec un modèle de pliage d'avion au verso. Cependant le modèle "Flyer" possède une existance individuelle, avec un recto (image de gauche) et un verso (image de droite). Je m'attache ici, à la nature du mot, et sa représentation. Le "flyer" renvoie en anglais à l'action de voler, et, en tant que prospectus, à un papier promotionnel volant et éphémère. Ainsi le fait, de réaliser un réel "flyer" volant devenant avion en papier éphémère, consiste en une répétition par nature tautologique de la forme. Par ailleurs, cette réalisation, renvoie indubitablement à l'univers de l'enfance, des jeux innocents et gratuits, en opposition à l'univers marchand contenu dans le prospectus. Ce "Flyer" devient volant par l'action de celui qui le détient, seulement si celui-ci daigne se prêter au jeu au quel il est "invité" par ce "Flyer".

vendredi, février 27 2009

Formes de déplacement (2) -Geographical Pictorial System®-

blog.jpg

Protocole du GPS de forme, le Geographical Pictorial System®.

mardi, février 3 2009

Formes de déplacement

Cartes de formes de déplacement :

carte_deplacement_Audrey_contour.jpg

Carte_Finale3_avec_contour.jpg

J'ai choisi de revisiter d’une manière totalement différente une de mes réalisations passée par ce projet. Ma première proposition consistait au détournement du site www.diplomatie.gouv qui relatait un déplacement de Nicolas Sarkozy au Royaume-Uni en Mars dernier. J’avais récupéré toutes les informations, traces de ce déplacement afin de me les réapproprier (en remplaçant son nom par le mien dans les écrits, et en me réappropriant les images officielles à l’aide de photos montage) j’ai donc réalisé un nouveau site de ce déplacement fictionnel : http://fannyvismara.cabanova.fr/

Ce qui m’intéresse dans le déplacement, de nature éphémère, est la notion de traces qui lui subsiste. C’est sur l’axe de l’étude de traces, que j’ai porté mon regard, dans ma première réalisation, j’ai réinterprété une trace, en détournant celle-ci de son contexte original, et en créant à mon tour une nouvelle trace de cette production sur le web. Dans ce second projet, je suis partie de la première trace du déplacement que j’avais évoqué, afin d’étudier tout les déplacements qui lui ont succédés. L’aspect commun reliant c’est deux propositions, réside dans le fait de l’étude de traces, mais surtout leurs accumulations, puis leurs réinterprétations. Ici je me suis attachée de récolter les informations par l’intermédiaire du web. En effet, Internet est au cœur de mes préoccupations, et constitue une matière importante dans mes réalisations ; en effet, il est un terrain fécond à mes questionnements sur le rapport réalité/fictions. Ainsi, je travaille les diverses possibilités qu’offre le virtuel (au travers de second life, google map, ebay par exemple) pour retisser des passerelles avec le réel, le transposer, voire le transformer. Ainsi, je manipule par divers procédés, réel et virtuel, afin d’aboutir à une troisième dimension, la réalité fictive.

Pour cette seconde proposition, je me suis posée la question des « différentes formes de déplacement », qui sont d’ordre par définition : du (ou de la) physique, la géométrie, ou de la psychanalyse. Je me suis donc focalisée sur les aspects physiques et géométriques du déplacement. Je souhaitais, créer, un système et une forme de représentation de déplacement immuable ; un modèle qui pourrait être applicable à tout déplacement physique, comme le serait une formule. J’ai donc choisi d’approfondir la forme subsistant au déplacement ; à partir de sa trace virtuelle (tout comme ma précédente réalisation), ainsi que réelle afin d’en tracer la géométrie picturale quelle entraîne.

J’ai choisi pour cela de représenter deux déplacements, l’un effectué par un personnage public, l’autre par un individu pouvant représenter n’importe lequel d’entre nous. Il s’agit donc de la figure de Nicolas Sarkozy, et d’Audrey Philbel. Ainsi, j’ai étudié, et traité l’ensemble des données relatives aux déplacements effectués par le chef de l’état depuis mon travail précédent, soit à partir du : Déplacement de Nicolas Sarkozy au Royaume-Uni de Grande Bretagne et d’Irlande du Nord (26 et 27 mars 2008)) . Ceci constitue le point de départ de mes recherches pour cette réalisation (tout comme pour la précédente) ; il s’agit donc de collecter les traces du déplacement, afin d’obtenir une matière assez dense pour être matérialisée, puis de les répertorier, afin d’en tracer les contours. Pour Nicolas Sarkozy, il s’agit d’un travail d’archivage via Internet, et d’une étude des déplacements d’Audrey Philbel auprès de lui-même. La protocle du tracé de la forme réside donc à utiliser ces renseignements géographiques, et à les cartographier, puis à remplir les tracés commun, ce qui fait apparaître le périmètre spatial fermé ayant été parcouru de part et d’autre par le déplacement. L’application de cette formule aux différents déplacements de N. Sarkozy réside dans le fait de prolonger mon travail ; d’un point de vu temporel, mais aussi, du fait qu’il est le représentant de la France, et donc des Français, ce qui pourrait être perçu comme un déplacement possible par procuration (il en va de même par principe pour Audrey Philbel). Nicolas Sarkozy, me permet de créer une base de forme large de déplacement, un point de comparaison, comme il est ici question avec la mise en perspective du déplacement d’Audrey Philbel. Ce dernier déplacement à pour résultat une forme beaucoup moins complexe, éparse, elle est la résultante d’un emploi du temps, et d’un budget plus sobre. Par ailleurs, les échelles ne sont pas les même, mondiale (1cm = 1553 km) pour Nicolas Sarkozy, et Régionale pour Audrey Philbel (1cm=20 km), ce qui fait que lorsque l’ont superpose ces deux déplacements sur une même carte, ont obtient un déplacement incluant l’autre.

Ce travail est né, d’une volonté de revisiter le déplacement que j’avais fait précédemment, d’une manière inhabituelle pour moi, par l’utilisation de données, afin d’en matérialiser leur champ pictural. Il est vrai que toute étude de forme, peut laisser penser le fond défaillant… Pour moi, l’enjeu était de réaliser une forme, d’après un protocole objectif que je me suis imposé, permettant d’être applicable à tout déplacement. J’ai pris le parti ici, de garder l’objectivité du déplacement, et de suggérer que chaque déplacement possède une forme résiduelle qui lui est propre (d’un point de vu spatio-temporel), et de proposer d’en matérialiser l’existence. Ainsi j’ai comme idée de continuité, pour éviter d’être soumise à l’aléatoire, d’inverser ce procédé, de tracer des formes de déplacement, puis de m’y rendre, ou de proposer ces cartes afin d’effectuer ces trajets.

L'étape suivante de se projet est la création d'un programme type GPS permettant la réalisation automatisée de formes de déplacements sur une période X donnée.

mercredi, novembre 26 2008

(Ecran rectangulaire posé pixélisé) / Imac hommage...

imac_vierge_pour_blog.jpg

..à Joseph Kosuth

Cliquez-ci dessous pour voir l'animation :

imac_anim2.swf

jeudi, novembre 13 2008

Visitors, Fake installation interactive.

Installation Visiteurs.

DSC00156bis.jpg DSC00169_copie.jpg DSC00160.JPG DSC00171_copie.jpg

Si pour Duchamp c est "le regardeur qui fait l'exposition" pour moi, c'est le visiteur qui créer l'exposition.

Cette installation est une dérision de "l'art interactif", une sorte de démystification de celui-ci, surmonté d'une affirmation, car, sans l'intervention de l'homme il n'existe point "d'art interactif". Derrière chaque inventivité interactive autonome, réside la volonté humaine qui structure cette fiction. Généralement celle-ci est cachée afin de ne pas dévoiler ses failles, à la manière des illusionnistes ; c'est ce que ma pièce cherche à dévoiler et démystifier. Cette pièce se dévoile en plusieurs temps, en laissant place aux présupposés ; chaque visiteur entrant, aperçoit sa comptabilisation instantanée sur l'écran géant central à l'espace d'exposition, il pense a un dispositif complexe, puis parcourant l'espace, il perçoit la personne responsable de ce compte qui finalement est "manuel".

mardi, mai 20 2008

MusicSpace experiment

Création d'un groupe de musique : MoDeM, et de sa page MySpace Music.

http://myspace.com/lesmodem

MoDEM2_copie.jpg


PAS LANCÉ http://www.myspace.com/lesmodem

Création d'un groupe de musique : MoDeM, et de sa page Myspace Music.

Le MoDeM est un projet collectif, qui s’articule autour d’une page Myspace Music créée pour l’occasion, comprenant, une série de photos (diaporama de photos réalisées lors de la prise de son), ainsi que la présente vidéo hébergée par youtube. Ce projet découle d’un désir commun d’expérience et d’expérimentation d’une matière commune nous étant complètement étrangère : la musique. C’est pourquoi nous avons décidé de créer un groupe de non musiciens. Nous avons utilisé myspace comme moyen de diffusion, nous apportons une touche satirique dans le phénomène effervescent du « everybody can be a star » bien visible sur ce type de site, ainsi qu’à la notion de « fait maison ». Par ailleurs nous maîtrisons les codes stéréotypés dont nous nous jouons, aussi bien par le logo du groupe, nos costumes, ainsi que le nom même du groupe MoDeM qui signifie ici : Morceau De Musique. Ainsi, MoDeM partage les principes Fluxusiens, quant au fait d'être "simple, amusant, sans prétention, il doit s'occuper de choses anodines, il ne doit pas demander de savoir-faire particulier non plus qu'un nombre incalculable d'essais, il ne doit avoir aucune valeur marchande ou institutionnelle ", émis par George Maciunas.

samedi, mars 15 2008

Carte (google map) au trésor, vendu sur Ebay.

gmap2.jpg

Il s'agissait ici de partir de la contrainte de l'objet.

En effet telle était la condition de la proposition faite par Marlène Renaud-Bouchard. J'ai décidé d'utiliser le web afin d'organiser une chasse au trésors, ainsi j'ai réalisé une carte permettant de retrouver les objets que je suis allée disséminer dans des lieux symboliques de Paris (Tour Eiffel, Sacré-Coeur, Arc de Triomphe, et Beaubourg).

Il est question ici de faire disparaitre l'objet physique, en les dématérialisant car il n'en reste que l'existence photographique. Cependant, subsiste la notion de trace créant ainsi la possibilité de les reconquérir. Ainsi, google map, permet de les localiser par le biais du jeu enfantin, et léger, qu'est la chasse au trésor.

La notion de déplacement est intrinsèque à cette carte puisque chaque repère de la carte correspond à un trajet effectué. Le site marchand, ebay, instaure le jeu, il est ainsi détourné de son objectif premier, puisqu'il n'est nullement ici question de s'enrichir. Par ailleurs,il permet la diffusion de la carte, ainsi que de trouver un acquéreur de manière aléatoire, et developper une sorte de chaine infini. En effet moyennant 1 euros, ce dernier, obtenait la carte, à condition qu'une fois sa chasse terminée, il en créer une nouvelle et la remette a disposition (récupérant ainsi sa mise de départ), et ainsi de suite.

Lien de la carte google Map :

dimanche, février 3 2008

Déplacement de Fanny Vismara au Royaume-Uni de Grande Bretagne et d'Irlande du Nord (26 et 27 mars 2008)

baiser_prince_charles2.jpg prince_et_reine.jpg meeting.jpg

Ce qui m'intéressait ici, est d'une part, le fait évident de l'improbabilité totale, en fait l'impossibilité, pour moi d'effectuer un tel déplacement dans la réalité, et d'autre part, le fait que je puisse le rendre réel dans le virtuel.

Ce qui m'importait était la notion de trace, et son importance.

En effet, on peut tirer le constat suivant :

Si le déplacement crée la trace, c'est la trace qui valide et mémorise le déplacement.

Ainsi, ma démarche a été de partir de l' effet du déplacement, sa trace.

Le déplacement de N. Sarkozy continue d'exister dans la réalité, car il a émis une production virtuelle photographique et scripturale. Mon point de départ a donc été d'en réunir la trace afin de pouvoir les manipuler dans le but de matérialiser un nouveau déplacement. J'ai donc utilisé comme point de départ, le site officiel détaillant ce déplacement jour par jour, heure par heure. Ainsi, j'utilise l'interface graphique du site(http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/ ) auquel j'ai ôté tout élément scriptural permettant de l'identifier.

C'est ce qui a donné la création de la trace de mon déplacement : http://fannyvismara.cabanova.fr/

Naturellement, d'autres notions émanent de cette réalisation, telles que, le simulacre, ou encore le grotesque.

Grotesque par le texte, dès l'origine du fait de son inutilité pour quiconque sous cette forme d'agenda si ce n'est pour l'intéressé ; puis, renforcé par la présence incongrue de mon nom dans cette énumération. Les photomontages appuient le coté grotesque de ces clichés , par leurs reproduction a posteriori que j'effectue, et par l'incrustation que j'en fais, comme au travers de ma lévitation aux cotés de la Reine Elizabeth II et du Prince Philip . Celle-ci contribue à renforcer l'idée de grotesque qu'a ce déplacement pour moi, mais aussi évoque son coté fictionnel. En effet, dans cette réalité virtuelle, je ne suis pas victime des clichés car je ne réagis pas avec la même « pesanteur » que dans la réalité.

Cette expérience de déplacement virtuel m'a permise d'aborder une nouvelle perceptive de mes préoccupations actuelles.

En effet je travaille les diverses possibilités qu'offre le virtuel (ex : second life, google map, ebay..) pour retisser des passerelles avec le réel, le transposer, voire le transformer.

Ainsi, je manipule par divers procédés, réel et virtuel, afin d'aboutir à une troisième dimension, la réalité fictive.

Dans un premier temps, ce déplacement m'a permis d'effectuer une nouvelle forme de réalité-fiction au travers d'un fait d'actualité, et d'en questionner la trace.

Le site que j'ai réalisé est un site « fantôme », car je ne cite aucunes sources, d'ailleurs j'en masque la visibilité, et que j'en détourne l'information à mon avantage, de manière humoristique et désinvolte.

Ce déplacement m'a permis de mesurer au travers du processus d'élaboration, les questions de propriété d'image sur Internet, notamment, le détournement des photos et de l'information, mais aussi au travers de la copie d'un site officiel http://www.diplomatie.gouv.fr/fr/; les dérives que l'ont pourrait en faire, et d'autre part la validité de l'information perçue sur le web. En d'autre terme, l'évanescence de l'information sur Internet, par la perte de son sens premier.

jeudi, janvier 17 2008

Installation second life, Janvier 2008

Artistes intervenants : Milie Shaham, Sandrine Lavarenne, Josquin Champion, Fabien Marini, Fanny Vismara.

salle_entiere_vue_porte2.jpg

Un espace réel (salle d'exposition de l' ENSAPC ( |http://www.ensapc.fr/ |fr] )), contenant son double virtuel, créant un espace fictionnel. Le point de départ de ce travail collectif, a été la création 3D dans second life, de la salle d'expostion de l'école d'Art de Cergy. Celle-ci créée nous avons pu réaliser un évènement commun dans la salle réelle.

Dans la salle d'exposition était projetée , la salle virtuelle de second life où s'y déroulait nos actions et expositions personnelles, ce qui avait pour conséquence de relayer le réel au second plan. Comme dans la réalité, c'est le virtuel qui capte l'attention malgré soi. Les spectateurs avaient la possibilité de dialoguer et visiter la salle virtuelle par le biais d'un avatar connecté à Second Life. L'espace virtuel comprenais une exposition de photographies de Millie Shaham, et Sandrine Lavarenne, ainsi qu'une performance "lap dance" de Lolo Ferrarie. Cette performance était relayée dans la salle réelle, tissant un lien entre ces deux espaces, par la diffusion simultanée d'une vidéo de Fabien Marini en hommage à Lolo Ferrari. Les artistes étaient physiquement absents de l'espace réel, mais réellement présents dans l'espace virtuel. Seuls les vetements des artistes était réellement présents dans l'espace. Dans l'espace réel, était installé les vêtements de chacun d'entre nous, surmonté d'une diffusion vidéo de portraits (de type web-cam nous montrant entrain de concevoir nos avatars respectifs).

Cette installation avait pour but de renforcer l'absence physique, comme si le virtuel leur avait aspiré toute substance, car les avatars ont été créés le plus fidèlement possible, avec les vêtements identiques aux réels. Les vêtements étayent l'idée de simulacre de la transposition virtuelle, et laisse suggérer, que la substance physique n'est plus, laissant place à notre réalité virtuelle. Ainsi la trace restante, n'est plus que la trace temporelle vidéographique du processus d'élaboration du virtuel, la conception de cette dimension, alternative au réel. Ce qui a pour conséquence in situ, l'apparition d'une nouvelle dimension celle de la fiction, qui créer une "réalité fictive".

photo_vetement.jpg

Salle réelle, installation vêtements.

avatars_grande_photo2.jpg

Avatars avec vêtements identiques aux réels.

install_portraits.jpg

Projection vidéo, visages sur nos vêtements.